L’enseignement spécialisé commence en maternelle et est organisé jusqu’en secondaire. Il recouvre des réalités multiples selon les handicaps et les niveaux socioéconomiques des familles, l’erreur serait d’avoir une approche globale… Souvent, il y a un sentiment de honte pour les élèves du spécialisé et leurs familles de ne pas être ordinaires.
Nous avons voulu dénoncer la relégation massive des enfants de milieux défavorisés et le gonflement de la population des élèves en type 1 et en type 8. L’enseignement ordinaire ne sait-il faire qu’avec ceux qui rentrent dans son moule ? Comment faire avec les spéciaux, faut-il les traiter à part, les inclure, les intégrer ?