Conférencière/Conférencier
Geneviève Carpentier est professeure adjointe au département de psychopédagogie et d’andragogie de l’Université de Montréal et chercheure au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE) ainsi qu’au Groupe pour l’évaluation des pratiques professionnelles (gEvaPP). Elle est également rédactrice de la revue professionnelle Vivre le primaire.
Valérie Thomas est détentrice d’une maitrise en psychopédagogie ainsi que d’une maitrise en études littéraires. Elle enseigne la littérature au Cégep régional de Lanaudière à L’Assomption depuis 2012. Elle est présentement étudiante au doctorat en science de l’éducation à l’Université de Montréal.
Tardif, Catherine
Catherine Tardif est chargée de cours à l’Université de Montréal et à l’Université du Québec à Montréal. Après une maîtrise en sciences de l’éducation à l’université de Sherbrooke, elle poursuit maintenant ses études au doctorat à l’Université de Montréal. Elle tient aussi une chronique dans la revue Musique et pédagogie.
Description
Depuis mars 2020, les enseignant.e.s du primaire doivent s’adapter aux mesures sanitaires privilégiées par le gouvernement québécois pour limiter la propagation du coronavirus. Ces mesures ont changé plusieurs fois, selon le contexte sanitaire et les recommandations scientifiques. À l’hiver 2021, alors que le contexte pandémique prévaut depuis près de deux ans, treize enseignant.e.s du primaire témoignent de l’influence de la pandémie sur leurs gestes professionnels. L’analyse des données met en lumière que certaines préoccupations du modèle du multiagenda (Bucheton et Soulé, 2009), notamment l’atmosphère de la classe et les savoirs abordés, exigent davantage d’ajustement de la part des enseignants, mais qu’une certaine accoutumance à l’imprévu s’installe.
Mercredi 13 novembre de 12 h à 13 h
Mercredi 22 mai de 12 h à 13 h
Mercredi 10 avril de 12 h à 13 h
Mercredi 28 février de 12 h à 13 h